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Médias, blogs, radios... Ils parlent de Stop&go !

HIT THE ROAD 2016

31/05/2016

Similien vous parlait dans ce post (qui date de presque deux ans déjà, ahem...) de sa façon de voyager préférée: le stop. Il m'avait maintes fois vanté les mérites de ce mode de déplacement pas comme les autres, et j'ai fini par le suivre, avec notre ami Max. Nous nous sommes donc rendus les 25, 26 et 27 Mai derniers au festival Hit The Road organisé par l'association de SciencesPo Stop&Go. Notre joyeux trio a commencé par lever le pouce porte d'Orléans direction Auxerre, où Michel*, professeur de Maths Sup' à la retraite, nous a permis de parcourir l'autoroute A6 à bord de sa BMW. Après un pique-nique dans l'herbe, c'est Eric* qui nous a amenés jusqu'à Saint-Florentin. Et pour finir, Martine* nous a déposés devant le chemin menant au domaine paumé bucolique de Bois-Gérard.

* les prénoms ont été inventés.


Là-bas nous attendaient bénévoles et festivaliers très motivés. Au programme la première journée: mise en place des tentes, jeux, repas et concert dans la cave du domaine le soir venu. Le jeudi 26, Similien et moi avons participé au rallye-stop et nous sommes rendus dans la jolie commune de Tonnerre. Et on a un peu galéré au début... puisque nous avons marché près de 8km avant d'atteindre la nationale et de trouver une voiture pour nous emmener.

Lire sur le site mapleandwine.blogspot.fr

Focus : Camille et Nadim, les pouces en l’air

 

Tout deux issus du Collège Universitaire, Camille et Nadim sont membres de Stop&Go, la première association universitaire d’autostop de France.

Baptiste Goursaud, Théo Depoix-Tuikalepa, mai 2016

Qu’est-ce qui vous a amené à faire partie de Stop&Go ?

Nadim : Stop&Go a été créé par des amis quand j’étais en première année, en 2012. J’étais déjà investi dans pas mal associations mais j’ai trouvé que celle-ci était une bonne idée, une bonne occasion pour travailler sur un projet différent. Il n’existait pas encore d’associations de ce type, autour de l’auto-stop, dans le tissu associatif du monde universitaire français. C’était vraiment un projet insolite.

Camille : Lors d’un des premiers week-ends d’intégration en 1A, une amie m’a parlé de Stop&Go : “C’est super sympa, ils organisent un week-end pour 30€ à Reims. Le trajet se fait en stop et tu loges chez les habitants.” Je suis donc partie à Reims et j’ai trouvé ça génial, donc ça m’a donné envie de continuer. Du coup, j’ai participé à tous les week-ends en 1ère année. En plus de ça, j’ai entendu parler du voyage que l’association comptait organiser pendant l’été : Paris-Istanbul, en stop, de fin-mai à fin-juin. Je voulais absolument faire partie de ça, et j’ai passé l’entretien pour être finalement acceptée.

Suite de l'interview à lire sur le blog de l'Ecole de la communication

Stop&Go ft L’Antichambre

 

Tu rêves de voyager sur les routes d’Europe et de France de façon économique, écologique et engagée ? Alors Stop&Go est une association faite pour toi.

23 avril 2016

 

Stop&Go, c’est quoi ?

Si tu n’en as (toujours) pas entendu parler, Stop&Go c’est une association d’autostop fondée par des étudiants de Science Po en 2012.

 

J’ai entendu “autostop” ?

Oui: “autostop” ! On essaye de promouvoir le stop comme moyen de transport et de voyage, pour aller à la rencontre des autres, autres routes, autres pays, autres personnes, tout en respectant des valeurs écologiques et un petit budget. Notre but : renforcer les liens culturels et humains en France et en Europe tout en faisant vivre une grande aventure ! Le stop, ça permet de se dépasser, de développer son autonomie, son esprit d’équipe, de faire face à des imprévus. Mais c’est aussi faire preuve d’ouverture d’esprit, faire des rencontres, dépasser sa peur de l’inconnu… Bref,  vivre l’Aventure avec un grand A. Il faut ainsi savoir réagir avec adversité et bonne humeur quand tu attends plus de 6 heures au bord d’une route (on me glisse à l’oreille 24h sur une aire d’autoroute pour certains), qu’il pleut et que la nuit commence à tomber.

Malgré quelques (très) rares moments de détresse, le sourire est toujours au rendez-vous. La raison ? Un des principes « maîtres » de l’association, c’est que le stop se fait toujours par deux ou par trois. Tu peux donc allègrement commencer à plusieurs à confectionner des jolies pancartes, gonfler des ballons roses ou t’initier à la danse contemporaine pour attirer l’oeil du conducteur (NB: il y aura toujours quelqu’un pour conserver une merveilleuse vidéo souvenir). Lorsque, enfin, tu parviens à rejoindre le reste du groupe, tu as l’impression d’avoir traversé la moitié du globe (même après un Reims-Paris) et tes compagnons d’aventure ne te quitteront plus jamais.​

Archives de  l'Antichambre

 

 

"Stop And Go", le projet d'auto-stop des étudiants de Sciences Po

 

Gaëlle Lebourg, étudiante à Sciences Po Paris, nous parle de son association "Stop And Go Sciences Po".

 

22 mars 2016

Notre voyage est axé sur le thème du partage, mais aussi sur celui de l'écologie. Stop And Go Sciences Po est une association qui soutient le bio et les initiatives pour préserver l'environnement. A ce titre, nous organisons avant le voyage un Festival d'autostop (Hit the Road), mercredi 25, jeudi 26 et vendredi 27 mai : le premier festival qui rassemble la communauté des auto-stoppeurs venant de toute la France (qu'ils soient de Sciences Po ou non), tout en ayant une démarche écologique : toilettes sèches, nourriture bio et vegan, etc.

À découvrir sur Ouest-France.fr

Quel est votre projet ?

Du 27 mai au 28 juin 2016, nous partons, avec un groupe d'une trentaine d'étudiants de Sciences Po Paris, en voyage en auto-stop. De Paris à l'Ecosse en passant par la Pologne, notre voyage est organisé par l'association Stop And Go Sciences Po, dont je suis l'une des représentantes. Les deux responsables du voyage d'été sont Antoine Renaud et Lucie Bouvier.


Pendant le voyage, chacun sera en binôme mixte et passera deux jours en autonomie avec son binôme (avec aucune auberge de jeunesse/camping réservée) puis retrouvera l'ensemble du groupe dans une ville-étape, pour une ou deux nuits. Dans la ville étape, l'auberge de jeunesse est réservée, et un groupe de trois personnes est chargé, avant le voyage, de repérer les bons plans, endroits à visiter, où sortir, et de faire un lexique du pays par lequel nous passons.

Le tour de France en auto-stop de 14 étudiants

 

« Nous voulons promouvoir l'auto-stop et aller à la rencontre des gens tout en découvrant du pays. »

Publié le 16/06/2015

Dans le cadre de l'association Stop and Go de Sciences-Po Paris, quatorze jeunes font un tour de France en auto-stop. À chaque étape, comme à Plouarzel, où ils sont restés deux jours, ils sont hébergés gratuitement. En échange, ils présentent, dans un espace public, leur spectacle (danse, chants, saynètes, sketches) Sur la route, qui relate les aventures de deux auto-stoppeurs à travers le monde. À Plouarzel, ils ont joué mercredi à la maison de l'enfance pour les jeunes du centre de loisirs.

Hébergés à la salle de lutte, ils ont pris les petits-déjeuners à la maison de l'enfance. Un repas leur a été offert par la municipalité au restaurant scolaire. Tous ont apprécié ce séjour. « Nous avions choisi de faire une halte à Plouarzel pour sa situation géographique sur le littoral et parce qu'elle est titulaire du label Station Verte. L'accueil des plouarzelistes a été très chaleureux, c'est vraiment un pays accueillant. Vive Plouarzel ! »

Ouest France

Hit the road, un festival consacré à l'autostop

Hit the road, c'est un festival organisé par Stop and go et consacré à l'autostop. L'occasion de parler de cette pratique et de cette communauté d'autostoppeurs.

Radio Campus Bordeaux 88.1

L'Europe en stop avec Sciences Po : top départ

 

Trente-quatre étudiants s'élancent de Paris pour rallier Helsinki en auto-stop. Le Point.fr publiera régulièrement leur carnet de voyage.

Par Nicolas Guégan, le 24/05/2014

Découvrir l'Europe en auto-stop, c'est le défi que trente-quatre étudiants de Sciences Po, autant de filles que de garçons, vont tenter de relever. Samedi 24 mai, en milieu de matinée, ils se sont élancés de Saint-Germain-des-Prés, en plein coeur de Paris, vers Amsterdam, première étape d'un voyage long de 3 500 kilomètres. Au cours des trente prochains jours, ils vont parcourir les paysages de la Pologne, de l'Ukraine, de la Lettonie ou encore de l'Estonie. Le but ? Rallier Helsinki, capitale de la Finlande. Kilomètre après kilomètre, Le Point.fr vous permettra de les suivre à travers leur carnet de route. À chaque étape de leur périple, ces jeunes Européens vous raconteront leurs plus belles anecdotes et vous confieront leurs plus grandes galères.

Découvrir la suite des chroniques sur lepoint.fr

Cross-Europe hitchhike will stop off in Budapest
Sets out to explore the state of Europan unity

Posted on 21 May 2013, Tags: Budapest, Europe, Travel

 

A group of 26 people from the Sciences Po in Paris will hitchhike from the French capital to Istanbul this summer, stopping off in Budapest during their 30-day trip.

During their stop-off in Hungary the group is hoping to experience the local culture and see what Budapest has to offer. “We will be in Hungary for several days during our voyage, and are hoping to meet young locals and share our experiences and observations, particularly in Budapest,” said Uzma Sherieff of Sciences Po in a letter to The Budapest Times.

Sherieff said that the group wants to observe and write on the state of European unity and diversity as they experience it.

The Budapest Times

Des étudiants de Sciences Po partent pour un tour d'Europe en stop

 

​Publié le mercredi 15 mai 2013 à 14:41, Murielle Travadon

 

Vingt-six étudiants de Sciences Po Paris s'apprêtent à partir, fin mai, pour un périple de trente jours, en stop, entre Paris et Istanbul. L'objectif : partir à la rencontre des européens en s'interrogeant sur les fondements de l'identité européenne.


C'est quoi le projet ?

En juin 2012, des étudiants de Sciences Po créaient l'association Stop&Go, avec

comme objectif de "faire découvrir le stop et son état d'esprits aux autres élèves

de l'école."

Après plusieurs galops d'essai, principalement en France, les étudiants s'apprêtent

à partir (à la fin du mois de mai) pour leur premier grand voyage. Un périple de 3000

kilomètres qui va leur faire traverser l'Europe d'Ouest en Est. De Paris à Istanbul. Le

tout en stop.

Pour faciliter les conditions du voyage, les étudiants seront répartis en binômes.

L'ensemble du groupe se retrouvera tous les deux ou trois jours dans des villes étapes

du périple, comme Munich, Vienne, Budapest et Sofia.


Un voyage pourquoi ?

En préambule, les étudiants de Sciences Po tiennent à assurer du sérieux de leur projet :

"Notre projet de rallier Istanbul n'est ni un voyage organisé pour joyeux étudiants, ni le

road trip d'un groupe d'amis. "

Et de détailler leurs objectifs ambitieux : "L’objectif du voyage est de se tourner vers l’Europe

et sa diversité. Relier Paris à Istanbul nous permet de partir à la rencontre des européens, guidé par la question des identités européennes. Qui se sent européen et pourquoi ? L’Europe se limite-t-elle à l’UE ?"

A ce titre, chacun des étudiants sera impliqué personnellement dans l'élaboration du voyage au sein d'un des trois pôles (communication, partenariat et organisation).


Ils ont besoin de vous ?

Pour finir de réunir les fonds nécessaires les étudiants font appel à la générosité des internautes sur le site de crowdfunding Kiss Kiss Bank Bank. Car si les billets d'avion retour et les logements ont été assurés grâce à un partenariat avec une banque française, le budget n'est pas encore bouclé.

Selon leur calcul, il manque exactement 1828 euros aux étudiants. Sept euros par personnes et par ville étape (soit 1456 euros), une trousse à pharmacie par binôme (soit 291 euros) et un gilet jaune par personne (soit 80 euros).

Pour l'instant ils n'ont collecté que 505 euros.

 

www.jactiv.ouest-france.fr

Stop and go, en un mot ?

La liberté !


 

11 octobre 2012, 21:51​ Par Elian Peltier



​Semaine des Associations Sciences Po



Ils ont le pouce levé, le sac bien vissé dans le dos et la débrouillardise dans la peau. Ils sourient tout le temps, vont à Sciences Po en stop et aiment quitter l’ambiance 27 pour des contrées plus exotiques (Reims, ça fait quand même un peu loin pour des parisiens pure souche…)


En quelques semaines, Stop and Go est devenue la « happy association » avec un concept inédit, une communication bien rôdée et des projets pleins les sacoches : proposer aux étudiants de découvrir le stop, rien que le stop, une touche de découverte en plus, celle du sciences pistes à côté en Boutmy à qui on n’ose pas adresser la parole et qu’on rencontre dans un contexte un peu différent, en dèche sur le bord de l’autoroute. Sortir un peu de Sciences Po, lâcher le vélib’, les soirées parisiennes, partir ailleurs, voir…


 

Succès ! Son apparition dès la fin de l’année dernière a permis à Stop and Go de se faire connaître progressivement, dans la lignée des Binouze Bikers et du prix Jack Kerouac. Mathieu, le président de l’association, interrogé à propos de la naissance du projet, confie :

« Stop and Go est né d’un fantasme personnel ; la volonté de faire découvrir un moyen de transport fun, économique, humain, écologique… bref l’aventure avec un grand A. … L’idée était aussi de rompre avec le rythme “wei-soirée-conférence” ». Nadim, membre du staff, ajoute : « Le concept de l’association, c’est aussi la simplicité et la spontanéité : partir sans se poser de questions, avec seulement un sac à dos et un sac de couchage ! ».

Une bonne comm’, le soutien de l’administration, et le tour est joué ? Pas si simple. Au-delà du trip « je prends mon pouce en l’air, ma b*** et mon couteau », Stop and Go la joue sérieux niveau organisation : assurances, voiture balai qui récupère les trainards ou les malchanceux qui n’ont pas trouvé une voiture pour les embarquer… Largage en pleine jungle, juste ce qu’il faut.

A la fin du mois de septembre, ils les ont largué, les amarres. Ou plutôt jeté la navigo et laissé la voiture de papa. En route pour un premier périple à Reims fin septembre, cinquante étudiants ont pris The Road you know like Jack Kerouak and his best friend Neal Cassady, discovering french courtyard, campesinos et autres curiosités de l’arrière-pays français – c’est faux on le sait tous, mais tout le monde ne connaît pas la magnifique région qu’est la Champagne, alors entretenons les clichés – à deux heures de la capitale. Une distance idéale, pour tester le concept, la capacité, et ne pas trop décourager les derniers. Si vous avez croisé des jeunes avec des pancartes colorées et un foulard rouge au bord de la route, c’étaient eux ! Reims fut l’occasion d’une petite parenthèse pour les sciences pistes et surtout celle d’une heureuse rencontre avec les étudiants de Sciences Po Reims. Encouragée par l’administration de l’IEP, Stop and Go veut favoriser le rapprochement inter-campus, en plus du rapprochement inter-étudiant. Une réussite, tant par l’ambiance et le plaisir de tous les étudiants autostoppeurs, que pour l’arrivée à bon port de tous ces pouces en l’air. L’accueil du BDE Reims ? Explosif. Le rallye du dimanche à travers les vignes de Champagne ? Enivrant. La découverte du terroir français ? Passionnant pour les étrangers, avec un singapourien qui rencontre une vache pour la première fois, des brésiliens qui traversent l’autoroute et se font récupérer par la police, puis repartent tellement séduits par le concept qu’ils veulent l’exporter dans leur université, ou des américains, canadiens, australiens, chinois, vénézuéliens, équatoriens impressionnés par la qualité de la « french touch »… « Sacré Hubert », dirait l’autre.

Flora, membre du premier binôme arrivé à Reims et donc grande gagnante de ce week-end Stop and Go, témoigne : « c'est un peu comme un mini-WEI en fait, les mêmes chansons de Parisiens en province, une ambiance de folie, et beaucoup de champagne ! » Et d’ajouter : « Stop and Go en un mot ? C’est la Liberté ! ». Le BDE n’a qu’à bien se tenir, Stop and Go sait s’y prendre.

Alors foncez : votez pour eux ces jours-ci s’il vous reste une petite voix et surtout jetez-vous sur les premières places du prochain périple – ils la jouent secret, nous n’avons ni date ni destination pour le moment. Une chose est sûre, si Reims ne vous attirait pas, qu’un trip à Poitiers, au Havre ou à Nancy ne vous botte pas trop non plus, patientez, patientez. Réservez vos mois de mai et de juin 2013, pour embarquer avec Stop and Go à travers l’Europe, jusqu’à Istanbul. Joli challenge : partir (le nombre d’étudiants n’est pas encore défini) sur les routes du continent, se retrouver dans des villes-étapes tous les deux ou trois jours, pour arriver, environ après, dans la capitale turque. La semaine prochaine, les premières discussions autour de ce projet commencent. Le staff invite tous les volontaires intéressés par le projet à venir échanger avec eux sur la destination, les étapes et les modalités du voyage…

 

LaPeniche.com



 

Le SunDial de REIMS

Hitchhiking to Beaver’s Town

 

Mercredi, octobre 3rd, 2012, By Isabella Bender Zevallos​​

The Reims and Paris campus look .

back on the “Stop & Go” weekend while further projects are already being discussed.​​

 

Reims' campus last Saturday. The following day, they left town and resumed their weekend adventures. The “Stop & Go” weekend was organized by Paris’ Stop & Go and TransAtlantique groups and by Reims’ BDE in an effort to combine the excitement of a hitchhiking experience with a meeting between students from different campuses. The two days of visit brought about events and memories alike that fostered novel friendships and possibly a new tradition in the Sciences Po Reims campus.



As easy as it might seem to simply hop onto a car that is heading towards Reims, many „Parisian SciencesPistes“ encountered a bit more than simple difficulties, and thus arrived with multiple stories to tell. Whereas a couple got a private city tour of Reims while still inside the car of the person who gave them a ride, another group of girls hitchhiked with a forty-year-old man who would ask them for girlfriend advice. It turned out he was having a relationship with an Ukrainian spy.

Furthermore, three Brazilian exchange students who hitchhiked together — Isadora, Bruno and Louise — found themselves in a tough situation as they were dropped off in the middle of the highway, only to be stopped by a police officer exactly four minutes later. The policeman told them he could not allow them to stay there any longer. On average, those who are in this situation do not survive more than 6 minutes before being run over by a car. Thus, the exchange students were taken to the nearest police station to hitchhike from there, only to finally arrive at the Beaver campus a few minutes before 6 pm. Other rather remarkable stories were told: the last pair to arrive walked onto campus at 18:28, — almost seven hours after the start.Moreover, certain groups journeyed in as much as six different cars before arriving. Normally, it takes only 40 minutes to go from Paris to Reims by TGV.

 

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While waiting for all the students to arrive, both SciencesPistes from Reims and Paris alike enjoyed treats at the Maison de la Ville Associative (MVA): biscuits, chips, beverages, and much more were savored as students played card games and engaged in conversations. A tour of Reims, led by Daniel Nothaft, one of Reims’ second-years, was offered, starting at 14:30. An hour later, Alison Vicrobeck — the BDE’s president — offered a brief tour of the Sciences Po campus, presenting sites such as the recently-opened lecture room, both libraries, classrooms, the 300-year-old vine branches on the wall of the ancient Jesuit college, the student lounge, and more.

Later, various rounds of Beer Pong outside the MVA took place and, as larger groups sporadically arrived, Champagne bottles were popped open in an act of celebration. Juliette Chopin, a first-year from the Paris campus, seemed to be excited: “So far I liked hitchhiking, but it is also very nice to be with a lot of people. I really enjoyed playing games such as Beer Pong.”.

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Following the gathering of all students on campus, both hitchhikers and hosts headed to “The Mansion,” the residence of six students, amongst them, the head of the BDE herself. With pizza, beverages, and a large plate of brownies shaped like a hitchhiker’s thumb, students seemed to enjoy the beginning of the night. Dong Kun Guo, a first-year Beaver, talks about this in retrospect: “We have to thank Alison for working overtime to organize events, cooking, and giving almost half of the contingent a place to sleep.”
The Hemingway bar was the next destination. Also included: discounts on drinks and live music. The party rolled into the early hours of the morning. At 11 a.m., the Parisian visitors reconvened behind the Reims Cathedral for further touring before leaving to go back home.


In general, positive feedback was offered. Alison herself states that it was a great weekend, and many agreed that it was a good opportunity to meet other Sciences Po students: “Logistically something like this is hard to plan because everyone arrives at different times. My favorite part was getting to know people, I think the dinner at the Mansion really contributed to this.”   “The BDE plans on continuing to have exchanges with other campus, and we are already in negotiations with a few of them. I think it could be great.” Dong Kun Guo agrees that such an effort would be a good initiative.
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Despite the short visit, Sciences Po’s Paris and Reims students accomplished the goal they had set out for: whether during card games, over a cup of beer, or while sharing a slice of pizza, students interacted, bonded, and formed memories that will carry on into — hopefully — the soon-to-come next hitchhiking event.

 

Le Sundial



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